Le microbe n’est rien, le terrain est tout.
Un reportage sur un impensé : celui du traitement contre le coronavirus.
Le documentaire démarre sur cette étrangeté de l’interdiction faite aux médecins de traiter les patients, hormis, on le sait, en salles de réanimations ouvertes aux malades en stade terminal des maladies causées par le virus. Il explique ensuite comment un médicament banal à essayer, l’hydroxychloroquine, est devenu un produit dangereux. L’on découvre que le but était d’imposer à la place le remdesivir, avéré maintenant bien plus dangereux que le vieux médicament dénigré.
Le documentaire élargit à d’autres traitements délaissés qui donnent pourtant des résultats observationnels et cliniques : les vitamines D et C, le zinc. Il élargit aux autres traitements possibles des plantes et des huiles essentielles dont on sait parfaitement les possibilités curatives, mais qui subissent le barrage de la validation : des essais cliniques qui seraient trop onéreux pour des traitements pas assez rentables.
La dernière partie développe sur la myopie de la médecine occidentale, à partir du constat que certains contaminés n’ont aucun symptômes, alors que d’autres en meurent. Il existe pourtant des indications d’hygiène de vie, des principes nutritionnels et des traitements de fond relativement simples pour maintenir le système immunitaire, l’oublié de la médecine d’aujourd’hui. Le professeur Perronne, l’un des interviewés, explique qu’il n’en a rien appris durant sa formation en médecine, mais que ce sont le malades rencontrés qui lui ont changé ce regard.
L’intérêt par rapport au documentaire « Hold-up » est que celui de « Mal traités » ne déroule qu’une problématique avec une construction argumentative accessible et facile à reprendre. Au-delà de la dénonciation qui est faite, la problématique démontre d’elle-même toute la vanité de la solution curative actuelle au virus.
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Bravo Alexandre ! Retrouvez-le ici : https://alexandrechavouet.com/